Les oubliés des trottoirs : ces enfants qu'on ne voit plus .
Ils dorment sur du béton.
Ils mangent quand ils peuvent.
Ils parlent rarement de leurs rêves, car ici, rêver est un luxe.
On les appelle “les enfants de la rue”.
Mais derrière cette étiquette froide se cachent des prénoms, des histoires, des blessures.
Ce sont des enfants. Rien de plus. Rien de moins.
Des enfants que la vie a rejetés trop tôt, que la société a abandonnés, que les regards évitent.
Comment devient-on un enfant de la rue ?
Il suffit d’un rien :
• un foyer violent,
• une guerre,
• la pauvreté extrême,
• la mort d’un parent,
• l’abandon,
• l’indifférence.
Parfois ils fuient un enfer en pensant trouver un refuge dehors. Mais la rue n’est pas un abri.
Elle est cruelle, froide, pleine de dangers.
On y apprend à se battre, à voler, à survivre. Mais on y oublie vite ce que c’est que jouer, apprendre, aimer, faire confiance.
Une vie faite de dangers
Dans la rue, l’enfance se dissout.
Ces enfants dorment sous les ponts, dans les marchés, sur des cartons mouillés.
Ils inhalent de la colle pour oublier la faim.
Ils volent, non pas par choix, mais par nécessité.
Ils deviennent invisibles, puis indésirables.
Violences, maladies, drogues, exploitation sexuelle, travail forcé…
Et le pire dans tout ça, c’est l’indifférence.
Et nous, que faisons-nous ?
On passe devant eux sans les voir.
On baisse les yeux, comme s’ils étaient le reflet d’une honte qu’on préfère ignorer.
On dit “ils sont dangereux”, “ils sont sales”, “ils ont choisi cette vie”,
Mais en vérité… ils n’ont rien choisi du tout.
Un enfant ne choisit pas de dormir dehors.
Un enfant ne choisit pas d’être seul, ni battu, ni affamé.
Ce sont les adultes, les systèmes, les silences qui les y ont laissés.
Pourquoi j’écris tout cela ?
Parce que ces enfants méritent mieux.
Parce que leurs vies comptent autant que celles de n’importe qui.
Parce qu’un jour, j’ai croisé l’un d’eux. Il s’appelait Samy. Il avait 8 ans. Il souriait encore. Mais ses yeux racontaient déjà toute une guerre.
J’écris pour que Samy ne soit pas oublié.
J’écris pour que demain, un autre enfant ne soit pas condamné à la rue simplement parce que personne ne l’a vu.
Ce blog est aussi pour eux.
Les Échos des Silencieuses… c’est aussi la voix des sans-voix.
Des femmes, oui. Mais aussi de ces enfants qui crient en silence.
J’écrirai pour eux, encore et encore.
Et si une seule personne lit ces mots et décide d’agir même par un regard, un pain, un geste alors ce blog aura servi
Très touchant
RépondreSupprimerOulalaaaa 🥺
RépondreSupprimer🥺🥺🥺
RépondreSupprimerUne cause noble très touchante !🥹
RépondreSupprimer🥺🥺🥺🥺🥺
RépondreSupprimer😔😔
RépondreSupprimer❤️✊🏿😭
RépondreSupprimerJ’ai perdue tellement d’amis dans la rue!! Paix a leurs âme 😔💔
RépondreSupprimerC’est une triste réalité que Dieu nous protège tous les enfants du mondes
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